Une dizaine d’étudiants, un prof. Table ronde, cercle littéraire. Qui de nous deux, Gilles Archambault. Silence. Un silence pesant, un silence parce qu’il n’y a rien à dire, que le livre parle lui-même, qu’il a tout dit, déjà. Silence, parce qu’il n’y a pas d’histoire à commenter, parce que de repenser à celles racontées dans le livre nous bouleverse encore. Parce qu’il n’y a rien à ajouter. Parce que c’était beau et que ça faisait mal, qu’on y repense et qu’on a mal encore. Sous forme de journal, le récit more »